
Dans mon ouvrage *L’Humanisme Dévoyé* https://www.iltaime.com/single-post/l-humanise-dévoyé-face-au-christianisme-la-confrontation, je livre une réflexion profonde et sans compromis sur la confrontation entre l’humanisme moderne et les valeurs éternelles du christianisme. Écrit en 2024, ce livre s’adresse à vous, disciples de Christ engagés dans une mission claire : éclairer un monde plongé dans les ténèbres d’un humanisme qui rejette Dieu. À travers une analyse biblique rigoureuse et un constat lucide de la société contemporaine, j’explore comment l’homme, séparé de son Créateur depuis la chute, s’est érigé en maître de son destin, au prix d’un chaos moral et spirituel.
Une genèse du conflit
Dès l’introduction, je pose le décor : annoncer l’Évangile, même en France, est devenu un « parcours du combattant ». Chrétien depuis plus de trente ans, j’observe une hostilité croissante envers Jésus, là où une vague mention de « Dieu » reste tolérée. Je vois la racine dans le péché originel, qui a brisé l’humanisme divin – une harmonie entre l’homme et Dieu – pour laisser place à un humanisme dévoyé, centré sur l’homme seul. Ce dernier, incarné dès les premiers actes post-chute (désobéissance, accusation, meurtre), s’oppose à Dieu et s’enfonce dans la dépravation.
Dans les chapitres suivants, je décortique cet humanisme dévoyé : il divinise la science, la nature (la « déesse écologie »), ou l’homme lui-même, rejetant la vérité biblique comme une fable pour faibles. Je cite Romains 1:18-32 pour illustrer cette rébellion : l’homme, voyant la création, reste « inexcusable » face à Dieu, pourtant il préfère l’idolâtrie à l’adoration du Créateur. En 2024, ce rejet prend des formes modernes – wokisme, théorie du genre, laïcité militante – mais reste fidèle à son essence millénaire : l’orgueil.
Une société antichrétienne
Je dresse un tableau sombre mais réaliste : la christianophobie explose, avec 365 millions de chrétiens persécutés dans 70 pays, 4 998 tués en 2024, et des églises brûlées dans l’indifférence médiatique. En France, la laïcité, issue de la Révolution, s’effrite sous le poids d’un multiculturalisme incontrôlé et d’un islam politique croissant, tandis que les lois liberticides érodent les valeurs judéo-chrétiennes. Je déplore une justice humaine défaillante – totalitaire ou laxiste – face à la justice divine, seule équitable (2 Pierre 3:13).
Cette confrontation, inévitable, oppose l’humaniste dévoyé, qui tolère tout sauf la vérité divine, au chrétien, perçu comme un obstacle à abattre. Pourtant, j’insiste : nous, disciples de Christ, ne cherchons pas le conflit. Notre mission est de semer la Parole, non d’imposer, laissant la grâce de Dieu agir. « Nous annonçons la vérité pour sauver des âmes », dis-je, citant Philippiens 1:27-30 pour vous exhorter à une conduite digne de l’Évangile, même sous la persécution.
Une réponse chrétienne
Comment vivre en « étrangers » dans ce monde hostile ? Je vous appelle à une foi active, ancrée dans la Parole et le Saint-Esprit. Je partage mes conseils personnels : adorer Dieu pleinement, aimer mon prochain, prier sans cesse, témoigner sans a priori, servir activement. « La nouvelle naissance est une grâce, pas une œuvre charnelle », martelé-je, distinguant le vrai disciple – régénéré, combattant – du religieux nominal, incapable de ce combat sans repentance.
Ce livre s’adresse ainsi à vous, nés de nouveau, car vous seuls, libérés de l’humanisme dévoyé, pouvez glorifier Dieu face à l’opposition. « Nous étions comme eux », vous rappelé-je, vous exhortant à la compassion pour les âmes perdues, même les pires tyrans, car la grâce peut tout transformer. Romains 8:37-39 résonne comme un cri de victoire : « Nous sommes plus que vainqueurs », rien ne nous séparera de l’amour de Dieu.
Une espérance inébranlable
Malgré un monde « cruel et dépravé », je ne cède ni à la peur ni au découragement. Le péché, immuable depuis des millénaires, ne surpasse pas la puissance divine. Les empires tombent, mais le soleil – pâle reflet de la lumière de Dieu – brille encore sous Son règne. La technologie, arme à double tranchant, devient un canal pour l’Évangile, accessible partout via la Bible traduite et les réseaux sociaux.
En conclusion, je célèbre la grâce qui m’a adopté, moi, ex-humaniste dévoyé. « Passer du péché à la sainteté est inexplicable, c’est l’infinie grandeur de Dieu en moi : tout pour Sa gloire ! » Le Psaume 91 scelle ce message : sous l’abri du Très-Haut, aucun fléau ne m’atteint. Face à un humanisme défiant Dieu, je vous appelle, fortifiés par la foi, à semer la lumière, assurés de l’éternité. Persévérez, coûte que coûte.
Daniel Gilman
l'humanisme dévoyé
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